Vous trouverez de tous les types de restaurants à Oulan Bator, de la cuisine traditionnelle avec les pâtes au mouton, à la cuisine plus occidentale.
Hors des villes, les repas sont pris en plein air et sont préparés à base de produits locaux par vos hôtes. La cuisine se compose essentiellement de viande, fréquemment cuisinée en ragoût avec pommes de terre ou carottes (boeuf, mouton), de féculents (pâtes et riz), ou de soupes. On trouve peu de légumes et de fruits frais en dehors d'Ulan Bator. Ne vous étonnez pas si après quelques jours, vous n'en avez plus au menu : le stock emporté de la capitale aura tout simplement été épuisé. Mais vous aurez l'occasion de trouver parfois des fruits sur les marchés des rares villes que vous traverserez. De même si vous êtes lassé du mouton et réclamez du poulet « pour changer », sachez que l'on en trouve pas en dehors d'Oulan Bator. Patience donc et compréhension seront les clés du plaisir que vous prendrez à voyager en Mongolie.
Pendant le trekking, de l'eau bouillie est à disposition chaque jour pour remplir vos gourdes. Durant votre séjour les boissons, y compris l’eau minérale, sont votre charge. Vous pouvez remplir vos gourdes d’eau dans les villages, les sources, les hôtels, ou dans les jerricans disposés à cet effet, mais il est indispensable de la traiter avec des pastilles purifiantes (de micropur ou d’hydrochlonazone). Évitez autant que possible l’achat de bouteilles en plastique qu’il faut ensuite recycler. Si vous devez acheter de l’eau en bouteille, nous vous conseillons d’acheter des bouteilles de grande contenance et (5 litres par ex) et remplir vos gourdes au fur et à mesure. Si vous souhaitez acheter des bouteilles, vous pouvez en avertir votre guide en début de circuit afin de prévoir une halte à cet effet.
Les Mongols sont de grands buveurs de thé salé : le süütei tsai, le breuvage national. Une autre boisson prisée des hommes est l'arkhi (vodka) et ceux qui refusent d'en boire perdent l'estime de leurs congénères. Les éleveurs produisent leur propre boisson, l'aïrag : du lait de jument fermenté, avec un taux d'alcool d'environ 3%. On le distille souvent davantage de manière à porter à 12° le degré d'alcool : il alors devient le shimiin arkhi.